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7_Gare de Borredon - c_Compte-rendu du conseil de pilotage du CIIMER

  

 

COMPTE-RENDU DU CONSEIL DE PILOTAGE DU CIIMER

Réuni le samedi 4 février 2012 à Caussade (au Relais d’Auvergne)
(après visite de la Gare  - entre 10 h et 10 h 30 -  et présentation des travaux effectués jusqu’à aujourd’hui)

 

16 associations étaient présentes (représentées par 28 personnes) :

Amis du vieux Caussade, Amicale Guérilleros de l’Aude, Amicale Guérilleros de Haute Garonne, Amicale Guérilleros de Gironde, Amicale Guérilleros du Lot,  Amicale Guérilleros nationale,  Asociación de Descendientes del Exilio Español, Association Miguel de Cervantès de Montauban, Ay Carmela, CERE 11, Groupe Carmela de la MJC de Cahors, Iberia y Cultura du Tarn-et-Garonne, Memoria Andando  de Decazeville, Mémorial de la Base Sous-marine de Bordeaux, Memoria y Exilio, MER 82.

5 associations étaient excusées (essentiellement en raison du très mauvais temps) :

Fundación Juan Negrín ; Amicale Guérilleros de l’Ariège ; Amicale Guérilleros des Htes Pyrénées ; Ateneo Republicano du Limousin ; MERR 32.

 

11h : Le président Henri Farreny ouvre la séance.

La chemise mise à disposition de chaque participant comporte, outre l’ordre du jour annoncé par la convocation, un « État des adhésions et demandes d’adhésions » (PJ 1), un « Point de la souscription » (PJ 3), une fiche d’accès à Borredon et Montalzat (en français : PJ 4, en espagnol PJ 5 ) en vue d’orienter ceux qui sont invités à venir à l’inauguration du 7 avril.
            Pour faciliter la prise de notes, il est décidé que Fabian Soria (Groupe Carmela, Cahors) et Laure Lataste (Amicale des Guérilleros 33), seconderont le secrétaire du Conseil de Pilotage, Jean Vaz.

Jean Vaz, secrétaire, rappelle le rôle déterminant de José Gonzalez dans la concrétisation du projet Gare de Borredon et Henri remercie, au nom de tous, le conseil d’animation pour tout le travail déjà effectué.

Avant d’attaquer l’ordre du jour, Jean soumet une remarque préliminaire : étant donné les réactions et les prises de position contrastées, parfois violentes qu’a entraînées le texte de la deuxième plaque à Cahors, il serait bon propose-t-il, d’avoir sur ces sujets une discussion. Certaines associations présentes n’étant pas ou peu concernées par ce débat, il sera abordé après la réunion avec ceux qui le souhaitent.

 

Point 1 : « Information quant à la constitution administrative du Conseil de Pilotage »

Henri rappelle que le CIIMER est une organisation originale constituée de deux organes non hiérarchisés, qu’il qualifie de « bipulmonaire », soulignant ainsi le caractère réciproquement vital des deux conseils.
            Le Conseil de Pilotage a été fondé par 22 associations lors de la réunion du 2 juillet 2011 (listées dans les première et deuxième colonnes de la partie Conseil de Pilotage de la PJ 1)

Pour l’inscription en préfecture du Conseil de Pilotage sous forme d’union d’associations (et pas de fédération), les statuts adoptés le 2 juillet 2011 ont été déposés accompagnés des identités administratives (Il faut produire : le n° SIRET, ou RNA ou NIF, pour les associations françaises : le n° de déclaration, la dénomination exacte, le lieu de déclaration, l’adresse du siège social, l’objet de l’association : en général l’article 1 des statuts) des 12 premières associations qui les ont transmises (voir première colonne de la partie Conseil de Pilotage de la PJ 1).

NB : les autres identités d’associations membres (fondatrices ou non) peuvent être déposées à tout moment. Quelques unes des 10 autres associations fondatrices n’ont pas encore donné tous les renseignements nécessaires (merci de le faire dès que possible)

Une liste d’associations qui souhaitent nous rejoindre est présentée ( en troisième colonne de la PJ 1) et ci-après :
            
·Amis du Vieux Caussade,
            
·Asociación de la Bolsa de Bielsa (ESPAGNE)
            
·Ateneo Republicano de Monzón (ESPAGNE)
            
·Círculo Republicano de Huesca (ESPAGNE)
                  ·CMCDP Centre de la Mémoire Commune pour la Démocratie et la Paix (MAROC)
            
·Federación Asturiana Memoria y República - FAMYR (ESPAGNE)
            
·La Gavilla Verde (Santa Cruz de Moya, ESPAGNE)
Ces 7 associations sont toutes consensuellement acceptées par le Conseil de Pilotage en qualité de membres à part entière.
            Un deuxième groupe d’identités de membres (membres fondateurs du 2 juillet 2011 ou membres intégrés aujourd’hui 4 février 2012) pourra être prochainement enregistré à la préfecture en complément de la première déclaration.

Il est rappelé que toute association qui le demandera pourra adhérer, dans les conditions de nos statuts.
  

Point 2 :  « Information du Comité d’Animation quant aux travaux, projets, finances, relations publiques. »

José Gonzalez présente le rapport d’activité du Comité d’Animation (voir PJ 2), activité dont la densité et la pertinence sont saluées par l’ensemble des participants.
             Il fait ensuite le point sur les financements reçus dont la souscription : voir PJ 3. Au 31 décembre 2011, la souscription populaire a recueilli 66 110 €. A quoi il faut ajouter 10 000 € donnés par Mme la députée Brigitte Barèges, 500 € donnés par le Crédit Mutuel, 5000 € de donnés par la
Communauté de Communes Quercy Caussade et 1500 € donnés par la mairie de Montalzat qui envisage de renouveler ce geste plusieurs années durant).
             L’emprunt restant à rembourser s’élève à 117 112,25 €. Le prélèvement mensuel est de 746,25 €. Les versements mensuels souscrits par 42 personnes permettent de recueillir, actuellement, 645 € par mois. La réserve actuelle (pour travaux et projets) s’élève  à 31 967,15 €.
             La souscription doit être intensément poursuivie avec l’appui de tous.
             L’inscription au Patrimoine Historique National des Monuments et des Sites de la  Gare, du Mémorial et du Cimetière devrait  « sensibiliser » le ministère de la Culture et pourrait peut-être ouvrir des droits (avantages fiscaux et dégrèvement de TVA sur travaux). Quant au Conseil général 82 et au Conseil régional Midi-Pyrénées, ils n’ont pour l’instant apporté aucune aide au projet (Ils vont être invités à l’inauguration  ¡Ya veremos !).
             Pour ce qui est de la vente du wagon, il y a eu quelques touches mais seule la mairie de Montclar du Quercy a fait une offre : 30 000 €, jugée insuffisante.

Santos
Jiménez fait le point sur les prochains travaux (mise aux normes de l’electricité, plafond et peinture des murs) et évoque leur financement. Un budget de 16 000 € est retenu à l’unanimité.
             José
conclut en rappelant le caractère novateur de la structure que nous construisons collectivement et en insistant sur la séparation claire entre MER 82 et la gare de Borredon.
             Jean Vaz
  fait remarquer que quelques maladresses ou imprécisions ont parfois pu créer un amalgame entre l’Amicale et le CIIMER. Il est bon de lever cette confusion et d’insister sur le fait que le CIIMER n’est l’émanation ni la vitrine d’aucune mouvance ou association et que ses activités s’inscrivent dans un cadre pluriel et donc autonome ce qui exige qu’au-delà de nos convictions personnelles qui demeurent bien sûr, nous soyons tous attentifs au respect de notre indépendance.
             Floréal Gonzalez
de Ay Carmela 33 reprend le propos en insistant lui aussi sur la nécessité de bien respecter la pluralité de nos associations pour renforcer le CIIMER.
Tony Martínez affirme avoir représenté et présenté exclusivement le CIIMER à Santa Cruz de Moya début octobre en sa qualité de secrétaire du Comité d’Animation du CIIMER. Même chose pour José, comme président du Comité d’Animation, au séminaire de la FACEEF à Saint Denis le 21 octobre.
             Henri Farreny
souligne combien il était important que l’existence et les objectifs du CIIMER soient portés à connaissance des centaines de participants aux Jornadas de Santa Cruz de Moya et à la soixantaine de participants du séminaire FACEEF, représentatifs de diverses associations d’Espagne et de France. Il remercie Tony et José pour avoir supporté ces déplacements et la préparation correspondante.
             Tony
indique qu’un architecte proche géographiquement de la gare serait une bonne chose. Il faudra dit-il, prévoir un accès pour handicapés. Il annonce également que l’Amicale des Guérilleros du Lot a lancé une initiative pour collecter des fonds pour le CIIMER, en adressant par courrier une carte postale de la gare à de nombreuses relations, avec un appel à souscrire. José confirme que cette initiative a déjà commencé à porter des fruits.
             Laure Lataste
présidente de l’Amicale Guérilleros 33 incite toutes les associations non encore impliquées dans le financement à en faire de même.
  

Point 3 : « Quel contenu et déroulement pour la manifestation d’inauguration du samedi 7 avril 2012 »

La journée pourrait s’articuler sur une matinée plutôt solennelle avec discours et hommages aux vétérans présents et une après-midi festive avec l’intervention de plusieurs groupes et artistes.

Henri présente un schéma de réflexion et d’organisation embrassant le contenu de la manifestation, le budget, le déroulement, la communication, les moyens à mettre en œuvre dès à présent et enfin les moyens à mettre en œuvre la veille et le jour même.
            Concernant la partie solennelle il s’agit de valoriser les objectifs originaux du CIIMER et simultanément d’honorer le mieux possible les vétérans présents.
            Il suggère un premier bouquet d’intervenants possibles, à examiner, (Le ministère de la Culture, les préfets du Tarn et Garonne et de Région, le maire de Montalzat, la Communauté de communes de Caussade, la députée-maire de Montauban, éventuellement le Conseil général du Tarn-et-Garonne et le Conseil Régional Midi Pyrénées, la ville de Toulouse, tel représentant des entités espagnoles participantes (des Asturies, Valence, Barcelone, d’Aragon…), le président de Izquierda republicana comme parti historique de Manuel Azaña, le consul d’Espagne à Toulouse ou l’ambassadeur en France et bien sûr le CIIMER qui pourrait être représenté par une seule voix, symbole de notre unité, ainsi que de brefs mais forts « suppléments d’âme » via un micro tendu, à la doyenne Felisa Salinas par exemple.
            Sur proposition de Laure un diaporama présentant des portraits de vétérans pourrait passer en boucle, silencieusement, pendant la cérémonie. Pour l’alimenter, Charles Farreny, de la Asociación de Descendientes del Exilio  Español, centralisera les photos et noms de vétérans (les lui adresser).
            Un diplôme (à concevoir et réaliser) pourrait être remis aux vétérans. Lina Valverde, de l’Amicale des Guérilleros 31, et Mercedes Ribera, de l’association Miguel de Cervantes (Montauban), calligraphieront en direct les noms au fur et à mesure qu’ils se présenteront.
            Pour la décoration/animation des lieux seront disposées les deux bâches « El soldado que cae / Guernica » et « La Niña Bonita », les deux banderoles « Echar un puente entre la España de ayer y la de mañana » déployées pour les 80 ans de la République à Ille-sur-Têt, ainsi que deux expositions sur les camps de concentration français : celle, documentaire, sur le Vernet, créée par l’amicale des anciens du camp (le président Raymond Cubells a donné son accord) et celle, artistique, d’un peintre ami (accord de principe à rafraîchir) sur les sinistres baraquements de Rivesaltes.
            La cérémonie sera agrémentée par les chants du Chœur des Filles et Fils de Républicains Espagnols qu’anime Tony à partir même du CIIMER.

Un débat s’instaure quant à l’organisation de l’après-midi festive et culturelle. La majorité penche pour une succession d’artistes qui offriraient chacun une participation de  5 à 20 minutes selon les circonstances.  Il serait souhaitable qu’ils interviennent pour appuyer cette journée et que leur participation soit le moins onéreuse possible. Plusieurs noms d’artistes ou groupes sont mentionnés (Sol y Fuego, Tal y Cual, Jacques Galván, Grup Memoria, Chœur des Filles et Fils de Républicains Espagnols, ElComunero, l’animateur habituel d’Ay Carmela, les éventuels artistes associés à nos partenaires espagnols…) ; plusieurs des présents se chargent de prendre des contacts.
            Fabian Soria
(Carmela/MJC Cahors) propose que soient invitées Evelyn Mezquida, auteur du livre sur « La Nueve » et Geneviève Dreyfus Armand. Il demande également à ce que le gouvernement espagnol soit sollicité pour le contraindre à répondre et à prendre en compte notre initiative.
            Henri
indique qu’il n’y a bien sûr aucune exclusive, que de nombreux auteurs, historiens et personnalités sont dignes d’être invités tels que Berdah, Godicheau, Grando, Roubaud, Bennassar, Navarro, Tenèze, Ortiz, Delpla, etc.
            Charles
et d’autres proposent que le travail d’invitation soit partagé. Une invitation commune sera réalisée et chacun pourra l’utiliser, en liaison avec les autres quitte à produire des doublons. Il souligne qu’il est naturel de s’occuper en priorité et d’inviter soigneusement les anciens combattants d’Espagne et de France, déportés, emprisonnés, etc. et leurs compagnons de lutte. José Gonzalez annonce que le dernier vétéran local (Caussade) du camp de Septfonds est déjà invité et qu’il faut inviter de même tous les autres survivants que nous connaissons (tels Narcis Falguera).
            Il est envisagé de prendre contact avec trois dessinateurs amis pour des interventions en direct : Roselindo, Philippe Guillén, Bruno Loth.

            Restent  à traiter :
                
· la communication
                         -> dont l’affiche (Charles propose une première ébauche ; il est envisagé une diffusion massive par internet)
                         -> le contenu et la forme de(s) communiqué(s) de presse
                         -> le contenu et la forme des invitations
                
· l’accueil général (repas, hébergement)
                
· l’organisation du site (circulations, parkings, navette, poste de  premiers soins et sécurité).

            Beaucoup de travail en perspective !

IMPORTANTÍSIMO : Ceux qui pensent pouvoir venir le vendredi pour aider à la préparation doivent prendre contact avec Mercedes Ribera (05 63 20 51 65; mercedes.ribera@orange.fr ).

 

Jean Vaz souhaite qu’au-delà des nécessaires commémorations et hommages aux vétérans, cette journée d’inauguration annonce aussi la volonté de travailler sur la globalité du devoir de mémoire qui doit porter sur la longue période qui va de la 2ème République à la loi sur la mémoire historique de 2007.

Coupure repas  de 13h à 14 h 30

Le débat reprend sur Mémoire-Histoire et actualité politique espagnole.
            Henri
invite Mercedes à exprimer en assemblée les sentiments sur ce sujet dont elle lui a fait part personnellement à l’issue de la matinée.
            Mercedes
considère que la priorité doit être donnée à Mémoire-Histoire plutôt qu’à l’actualité politique espagnole, elle appelle à faire attention aux polémiques politiciennes.
            José García
, président de Ay Carmela 33, pense qu’il ne faudrait pas « imposer » la 3ème République de l’extérieur. « Moi-même dit-il, ça ne fait que trois ans que je récupère ma mémoire »

            Joan Fabra
du Memorial de la Base sous-marine 33 rappelle que les descendants des franquistes en font, eux, de la politique et ça fait 80 ans qu’on nous dit de ne pas faire de politique. (Il souhaite par ailleurs que soient préparés des « diplômes » honorifiques à remettre à chaque vétéran présent ce jour-là).
            José Miguel
président de Iberia y  Cultura 82 pense qu’il faut faire primer la Mémoire-Histoire sur la politique.
            Pour Jean Vaz nous sommes les héritiers d’une histoire qui est politique et le CIIMER est le prolongement de cette mémoire. En 1977 la loi d’amnistie a scellé le pacte  du silence et de l’oubli, en 2007 une loi sur la mémoire historique plutôt perverse ne permet pas la récupération juridique de cette mémoire.  Ces combats, minoritaires en Espagne, sont aussi les nôtres.

            Charles Farreny
rappelle qu’en 2006 à Toulouse lors du grand rassemblement des 75 ans de la République sur la place du Capitole, le consul d’Espagne avait demandé que soient retirés les drapeaux républicains et le maire (centre-droit) de l’époque avait refusé ! «  Nous devons être rassembleurs et considérer que l’histoire de la République espagnole fait partie de l’histoire de France ».
            José Gonzalez
raconte l’anecdote d’un vétéran républicain convié à un défilé de la réconciliation à Madrid par le ministre de la Défense (Bono) et qui après avoir accepté a quitté la manifestation au dernier moment car il ne pouvait pas côtoyer un ancien de  « la División Azul » arborant la Croix de Fer nazie. Il y a une grande différence d’approche entre un côté et l’autre des Pyrénées. Il nous faut faire de la politique mais noblement.
            Suzy Sainte-Marie
, trésorière de Memoria andando, pense qu’il faut défendre les idéaux de la République espagnole, ils sont toujours d’actualité.
            Henry Farreny
appelle à l’union intégrant les points de vue de Jean Vaz, Floreal, Joan, Mercedes, José Miguel et tous les autres et déclare être fier de notre diversité. Il attire l’attention sur le fait que, pendant des décennies, en Espagne certes, mais aussi en France hélas, nous avons subi une présentation partiale et partielle de l’histoire des républicains espagnols. Au point que sont encore répandus des clichés tels que la prétendue « Guerre Civile » et les soi-disant « nationalistes ». Les mêmes qui n’ont pas critiqué ces clichés obscurantistes souhaitent nous cantonner dans soit le « mémorialisme sentimental » soit « l’activisme politique ». Il nous appartient de ne pas nous laisser enfermer dans ce dilemme, de remonter le courant trop longtemps dominant pour contribuer à la connaissance de l’Histoire authentique..
A ce sujet, il souhaite que la préparation de la manifestation du 7 avril, soit dans toutes nos associations l’occasion d’un vaste débat quant à notre rôle, séparément et tous ensemble.
   

Le point 4 qui se proposait de « lancer quelques pistes de réflexion et recueillir les 1ères suggestions sur un ou deux projets à moyen terme » n’a pu être abordé par manque de temps, la réunion devait en principe prendre fin à 15 h.
                                                                             
La séance est levée à 16 h
  

Note ajoutée par Jean Vaz à titre personnel : De 16 h 30 à 18 hse sont réunis ceux qui ont souhaité débattre des polémiques suscitées par la 2ème plaque de Cahors. Dans un débat animé chacun a dit ce qu’il avait à dire pour argumenter sa position.
            C’était nécessaire.
            Comme il est maintenant nécessaire que nous nous concentrions unitairement sur le CIIMER et son avenir, le premier pas étant que nous réussissions la journée du 7 avril.

 

Pièces jointes :      - Etat des adhésions au CIIMER  (PJ1)            - Rapport d'activité du Comité d'Animation (04/02/2012)  (PJ2)              - Le point de la souscription  (PJ3) 
                              - Plan pour la France   (PJ4)                             - Plano y hoteles   (PJ5) 

 

  
  

 

  


Date de création : 13/02/2012 15:57
Dernière modification : 13/02/2012 18:05
Catégorie : 7_Gare de Borredon


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