Vendredi 16 décembre à 20h, repas de fin d'annéeau local de Memoria (apéritif et vin compris : 25€). Date limite d’inscription vendredi 9 décembre.
MENU : Salade Gourmande. Salade, Foie Gras, Cou farci, Magret fumé. Ballotine de pintade fermière et son jus. Fricassée de châtaigne et noix, purée de panais, embeurrée de choux vert. Assiette gourmande. Délice pomme caramel, moelleux au chocolat et écorces d’orange confites.
Rappel : atelier vidéo, vendredi 9 décembre à 18h au local de Memoria . S’inscrire pour le repas (max.15€) avant le jeudi 8 décembre.
Vidéos - soirées Memoria
- le 02/12/2016 10:21
Soirées 'Memoria andando', vidéos proposées et réalisées par Pierre :
Franck da Silva : Memoria andando, Exil, ...
- le 27/11/2016 19:44
Découvrez les chansons "Memoria andando" , "Exil" ... et bien d'autres, sur la chaîne Youtube de Frank da Silva.
Soirée-tapas du 18 novembre 2016
- le 02/11/2016 09:58
'ANTACANTO', le duo franco-argentin animera la 1ère partie de la soirée-tapas du 18 novembre.
"Guitare sèche brillante. Voix élégantes et tanniques. Antacanto raconte, sur des rythmes subtils, des histoires qui voguent des Andes aux Caraibes. Des instants suspendus et intimistes pour mettre la chair de poule et chanter notre humanité commune."
Pour pouvoir prévoir les achats il serait souhaitable que ceux qui assisteront à la soirée s’inscrivent avant lundi 14 novembre 18h (nous avons une réunion du bureau pour préparer la soirée lundi à 20h30). Comme d’habitude nous commencerons par le concert, puis les tapas y a cantar todos si hay ganas !
Le prix de la soirée concert + tapas est fixé à 12/13€ selon le total des achats.
Inscrivez-vous car vous savez bien qu’on ne peut guère aller au-delà de 80 personnes dans le local de Memoria. Hasta pronto. Jean
Spectacle FLAMENCO vendredi 21 octobre 2016 à Decazeville.
- le 13/10/2016 19:46
En partenariat avec le Service intercommunal d’Action culturelle, l’association Memoria andando vous invite à un grand spectacle flamenco à l’Espace Yves Roques de Decazeville, le vendredi 21 octobre à 20.45.
« Flamencoson » (son flamencos/flamenco son !) est une création 2016 qui fait suite à de nombreux spectacles présentés ces dernières années par la compagnie Temperamento andaluz (Tablao Flamenco, Crisoles, Sentíos, Sello Flamenco, Messe Flamenca, Trait d’Union…) spectacles qui ont tous rencontré un grand succès. Natalia et Pedro Verdú se nourrissent au quotidien d’enseignements culturels et humains et c’est l’histoire de leur vie qu’ils confient à travers l’expression de leur danse. Dans cette complicité profonde avec les musiciens qui les accompagnent depuis de nombreuses années, c’est une sensibilité fraternelle qui s’est créée entre les familles Deleria chanteur-musiciens et Verdú danseurs –chorégraphes.
Avec cette nouvelle création Flamencoson, Natalia, Pedro à la danse, Blas Deleria au chant, Paco Carmona à la guitare et Antonio Gómez aux percussions donnent le meilleur de leur art pour que chacun se révèle le plus talentueux dans cette communion flamenca sans frontières communautaires. Beau spectacle en perspective !
Prix des places : 15€, gratuit pour les moins de 12 ans. Renseignements et réservations : 06 03 89 48 07 ; 05 65 63 50 82 ; 05 65 69 12 63
Assemblée Générale, le 23 septembre 2016
- le 30/09/2016 23:06
Vendredi 23 septembre, au local de Memoria andando, en présence de plus de 80 personnes nous avons rendu hommage à notre centenaire, Eduardo Castro Viñas –« el Sevilla »-, exilé républicain engagé à vingt ans dans la guerre civile espagnole et qui a poursuivi dans la Résistance en France son combat contre le fascisme. Nous ne reprendrons pas ici toute sa biographie que la presse a déjà publiée. Quelques jalons simplement : la bataille de Teruel, la bataille de l’Ebre, la Retirada, les camps ,Argelès, Gurs, Bordeaux, Le Barcarès puis un camp de travail obligatoire à Capdenac , la mine à Decazeville et dès 1942 l’organisation du premier noyau de Guerrilleros dans le Bassin qui deviendra la très active 9ème brigade F.T.P.M.O.I ; commissaire politique communiste dans l’Aude en 44, il est arrêté par les Allemands, s’évade lors de son transfert en Allemagne, crée un nouveau maquis dans la région de Saint Dizier, lors de l’arrivée des premiers alliés américains qu’il demande à rencontrer, il sera inexplicablement enfermé au camp de Compiègne puis embarqué pour Londres où il sera soumis pendant deux ans aux interrogatoires de l’Intelligence Service. Début de la guerre froide ? Il ne rentrera en France qu’en mai 1946 et ce, grâce à une intervention de Paul Ramadier.
Très ému lors du rappel de son parcours exemplaire de combattant antifasciste infatigable, Eduardo a simplement dit « Je n’ai fait que ce que je considérais être mon devoir ». Belle leçon d’humilité et de courage dans les convictions ! ¡ Salud, compañero Sevilla !
Francisco Martinez Lopez : lettre ouverte à la direction du PCE (pour dénoncer les crimes staliniens commis dans la guérilla antifranquiste entre 1945 et 1951) , dans la rubrique "Les invités de Mediapart"
Progreso MARIN nous a quittés, le 5 juillet 2016.
- le 15/07/2016 14:33
L’EXIL ET LE TRAIN "lu aux obsèques, le vendredi 8 juillet 2016"
Il faut oser appeler un fils Progreso, pour soulager l’humanité, ou un autre Numen, juste un identifiant, ou Luzbel l’ange lumière, celui qui devient le Diable, ou Floréal et Germinal, du calendrier révolutionnaire français, une fille Libertad, pendant la Deuxième République, ou en pleine Guerre d’Espagne, ou Amador, ou Placer, pour faire la nique à la calotte, au goupillon, mais aussi pour revendiquer l’utopie en marche, une vision du monde laïque, au pays de l’Inquisition d’hier, et de mon saigneur Rouco (et Cañizares) d’aujourd’hui, à la soutane tout aussi guerrière au service de l’ordre social et moral du capital.
Appeler un fils Progreso, (et ça t’allait si bien : Progreso !), c’est anticiper sur la révolution, c’est penser que le monde que tu souhaites est déjà là en germe, c’est la promesse de la prochaine « sociale ». Et pour tous ceux qui ont vécu « la croisade » des vainqueurs fascistes, « l’exil intérieur », le bannissement, l’exclusion en Espagne franquiste, les terribles humiliations, ces prénoms barricades furent à la fois une fierté et un fardeau. Ils les payèrent cher. Le prix de l’engagement « de verdad ».
Dolores, la mère, était une « figura » anarchiste catalane à Ripoll. Une rentre-dedans. Une révolutionnaire au verbe haut. Elle passa la frontière deux fois... L’anarchisme espagnol : un mouvement ouvrier de masse, et un apport universel, souvent minoré ou caricaturé. Et toi Progreso, fils de cette noirceur lumineuse, fils de l’exil, tu nais à Toulouse. « Tolosa, capital de la República ». Capitale de notre exil. Gamin tu baignes dans une culture libertaire. Revendiquée. Mais pas devant l’éternel !!! Tu adhéras même au PCF, pour une expérience non concluante... Et pourtant, « le rouge et le noir ne s’épousent-ils pas ? » Et puis « Les Motivés », toujours dans l’ouverture, « l’abrazo », la retenue, la gentillesse, la droiture discrète...
Et puis, et puis... L’exil comme une fêlure originelle, comme une cassure insurmontable et qu’il faut essayer de transcender, l’exil, source de force et de fragilité, source relégation et de métissage, de poésie et d’écriture. L’exil, comme on en naît, comme on en est, l’exil, cette douleur s’hérite, de génération en génération... Progreso, toi le poète, l’écrivain. Ta « Dolores, une vie pour la liberté », ta mère, et ton marquant « Exilés espagnols, la mémoire à vif ». Trop à vif ? Jamais assez. Combien de recherches, de rencontres, d’entretiens, de vies ou de bouts de vie, racontés, de témoignages, recueillis, partagés, sortis de l’oubli, de résonances actuelles, de portes ouvertes, de destins hors du commun, d’anonymes mis en lumière, de batailles au coude-coude pour transmettre et faire vivre cette mémoire. « Urgente ». Depuis si longtemps, « hermano ». Et puis, et puis... depuis six ans, le trou noir, ou rouge et noir si tu veux.
La souffrance insupportable, le désir de vie qui s’épuise. Les nombreuses tentatives. Et puis « la bonne ». Lorsque désormais je prendrai le train, j’aurai mal aux tripes. Putain de train ! Mais tu l’as voulu ! « ¡ A las barricadas Progreso, ayer y siempre ! ».
Jean Ortiz
Progreso Marín à Memoria andando à Decazeville en 2003
Juin-juillet 2016
-
le 12/07/2016 08:36
Manifestations de juin-juillet 2016 :
Tapas du 17 juin 2016
Assemblée générale du 25 juin 2016
Fête des langues du 9 juillet 2016
Assemblée générale le 24 juin 2016
- le 18/06/2016 19:17
Vendredi 24 juin 2016, Assemblée Générale, à 20h30 au local. Ordre du jour :
- Quelques points forts de la saison écoulée. - Le point financier. - Programmation des animations 2016 / 2017 - Les ateliers. - Infos et questions diverses.
Documentaire 'Compañeras', un grand succès !
- le 27/05/2016 09:09
Memoria andando : film Compañeras à La Strada, lundi 23 mai.
130 personnes dans une salle comble et quelques dizaines de déçus qui n’ont pas pu rentrer, c’est dire l’intérêt qu’a soulevé la projection du film Compañeras de Dominique Gautier et Jean Ortiz.
Ce documentaire est un bel hommage à toutes ces oubliées de l’histoire, à toutes ces femmes espagnoles à l’avant-garde du combat pour la conquête de leurs droits civiques et sociaux dès le début des années 30, à toutes ces femmes qui ont lutté contre le fascisme avec souvent les armes à la main, à toutes ces femmes qui ont eu à souffrir une terrible répression de genre pendant la dictature franquiste, à toutes ces femmes qui en Espagne ou en France ont continué leur lutte pour la liberté et l’égalité. Leur histoire a longtemps été passée sous silence et la reconnaissance de ce qu’elles ont été est relativement récente, en Espagne et en France. Ce film, riche d’émouvants témoignages de femmes magnifiques, contribue à réparer cette inacceptable absence.
Après la projection, Jean Ortiz a présenté un intéressant tour d’horizon de l’histoire espagnole de ces 80 dernières années en insistant sur la nécessité de poursuivre aujourd’hui la lutte pour ces valeurs universelles de liberté, d’égalité, de solidarité pour lesquelles ont combattu tant et tant de Compañeras.
'Compañeras' de Dominique Gautier et Jean Ortiz
- le 10/05/2016 20:53
A l’occasion des 80 ans de la Guerre d’Espagne, l’association Memoria andando est heureuse de vous présenter « Compañeras », le nouveau film de Dominique Gautier et Jean Ortiz, le lundi 23 mai à 20h30 au cinéma La Strada (entrée 5€).
La participation et le rôle des femmes dans la conquête de leurs droits et la défense de la République espagnole proclamée en 1931, leur engagement dans le combat antifasciste, ont été longtemps relégués comme effacés. Pourtant ces mères courage, ces militantes, anarchistes, communistes, socialistes, ces combattantes, en première ligne ou à l’arrière du front, miliciennes, guerilleras, agents de liaison, ont été très présentes dans la lutte, avant, pendant et après la guerre. Avec la victoire des franquistes en 1939, les femmes espagnoles, surtout celles du peuple, ont vu leur condition régresser à ce qu’elle était avant 1931 : soumission, aliénation, négation. Dans la terrible répression franquiste qui a fait plus de 150 000 disparus ou fusillés, les femmes républicaines ont subi une répression spécifique particulièrement acharnée. Il fallait effacer les progrès de la politisation féminine et de la sécularisation de la société dans le camp républicain. Assassinées, emprisonnées, violées, tondues, tatouées…, elles ont été victimes d’une véritable obsession de vengeance.
Pendant près de dix ans Dominique Gautier et Jean Ortiz ont recueilli de nombreux témoignages, en Espagne, en France et le documentaire présente des portraits chaleureux, émouvants de ces femmes espagnoles qui racontent très dignement ce qu’a été leur combat.
La projection sera suivie d’un débat animé par Jean Ortiz et Dominique Gautier.
'Federica Montseny', documentaire sur France 3
- le 08/05/2016 23:56
Le documentaire sur Federica Monseny sera diffusé lundi 9 mai et vendredi 3 juin.
- Diffusion sur France 3 Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon le lundi soir 9 mai à 23h50.
- Rediffusion sur France 3 Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon et diffusion sur Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes le vendredi 3 juin à 8h50.
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